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Sébastien Fritsch, Ecrivain
24 novembre 2008

Que dire ?

Ce soir, j'ai fait preuve de beaucoup d'imagination, puisque j'ai complété ma liste de lecture et que je l'ai publiée comme billet du jour. Quelle prouesse !
Pourtant, j'aurais tant de choses à dire : parler de mes dernières lectures, déjà ; et puis raconter le salon du livre de Colmar. Quelle ambiance ! Plein de rencontres encore (et encore plus qu'à Lyon, il faut le dire). Beaucoup de lecteurs (beaucoup plus qu'à Lyon, il faut le dire), beaucoup de paroles échangées avec de vrais passionnés de lectures ; et aussi des auteurs, découverts ou revus à cette occasion ; et aussi une visite de Colmar by night, guidés pas une voix de soprano (et oui, il faut toujours bien choisir la voix de son guide) ; et puis un dîner en face de Pierre Desproges ; et puis encore des lecteurs, tout au long du deuxième jour (et plus encore que la veille) ; et enfin, le retour, avec la neige qui dessine ses diagonales hypnotiques dans la nuit autoroutière ; et la musique d'Esbjörn Svensson, encore et toujours, qui emplit l'habitacle. Strange Place for Snow, isn't it ?


Découvrez Esbjörn Svensson Trio!

Mais je n'ai pas trop le temps d'écrire tout ça... ou bien pas trop l'humeur. Alors, je vous parlerai de mes aventures alsaciennes plus tard... ou je vous laisserai imaginer...

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Commentaires
S
@ Marie-Laure, effectivement, ce salon, très réussi, grâce aux nombreux lecteurs et à l'accueil des libraires de la Librairie Hartmann, restera parmi mes meilleurs souvenirs de salons du livre... et me donne envie d'y retourner.
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M
En tout cas tu sembles encore dans ce week-end là... Il y des choses qui restent longtemps et qui nous portent longtemps :-)
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S
@ Kiki, je reconnais que ça peut manquer de clarté. Je crois que ça correspond au niveau de visibilité que j'avais dimanche soir au travers des flocons. Mais j'espère qu'après avoir lu ça, tu te sens mieux qu'un lapin écrabouillé sur la route. De toute façon, vu ce qui tombait sur les autoroutes de Franche-Comté ce soir-là, il devait y avoir peu de lapins en goguette. Il n'y a qu'une seule espèce animale pour sortir par un temps pareil : l'automobiliste.
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K
Court(roux coucou)mais bon, comme un kawa italien, l'arôme est là, de ton week-end, en quelques phrases et quelques flocons voltigeurs, temps suspendu, on te regarde passer, un peu ébloui par tes phares comme le lapin sur la route, on comprend pas tout, puis on détale avec un petit écho soprano à l'oreille et un certain sourire aux lèvres... Merci pour la balade!
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