Les Muses à Tremplin

Quelqu'un que je connais et qui connait les personnes qui rédigent la revue suscitée (et citée plus bas aussi, en fait, et même plusieurs fois, mais je digresse, je digresse) m'a branché sur un appel à texte pour "Les Muses à Tremplin", une nouvelle revue littéraire.
C'est pour insérer dans le numéro 4, qui sort le 31 octobre.
Le texte est à rendre pour le 5 octobre et le thème est "sans faire de bruit".
Une petite idée a commencé à germer et puis... je n'ai pas eu le temps de terminer. Tant mieux, me direz-vous, puisque la vraie raison qui m'a empêché d'aller plus lon, c'est que je pars en vacances !
Où ? Dans un lieu qui porte un prénom de femme. Georgia ? Lorraine ? Illkirch-Graffenstaden ? (Comment, vous ne connaissez personne qui s'appelle comme ça ?) Mais non, tout le monde aura deviné, c'est... Mais je m'égare : j'étais là pour parler des Muses à Tremplin et de leur appel à texte.
En fait, même si je n'ai pas fini le texte commencé (j'ai été informé il y a deux jours seulement), je le finirai peut-être plus tard et je le posterai peut-être ici. Et puis, la prochaine fois, je participerai peut-être... Enfin, bon, ça fait beaucoup de peut-être.
Ce qui est sûr, c'est que vous pouvez... non, vous devez ! aller lire le site, le blog et la revue "Les Muses à Tremplin".
Pendant, ce temps, moi, je relirai pour la dernière fois, avant de l'envoyer à l'éditeur, "Le Sixième Crime", sous le ciel de Toscane.
Mais ne t'inquiéte pas, ô foule en délire qui parcourt avec délectation les pages de ce blog et au coin de la paupière de laquelle je vois déjà sourdre la larme amère de la solitude et du désoeuvrement, je te laisserai un peu de musique d'ambiance, un peu de polésie (comme disait quelqu'un que les moins de vingt ans...) et une chronique historique d'avant la guerre qui parle aussi d'un temps que les moins de vingt ans... (et d'ailleurs je pense qu'ils s'en foutent royalement, les moins de vingt ans, et ils ont bien raison).
Allez, ciao !